Une virée bien sportive dans les Pyrénées avec mon camarade Aurélien en ce début du mois de mai (photo perso)

Du 8 au 12 mai, je me suis rendu dans les Pyrénées avec Aurélien pour quelques jours de trekking autour de Loudenvielle (65) et de Bagnères de Luchon (31). Un séjour sportif quelque peu improvisé riche en rebondissement et en aventure duquel l’on garde plein de souvenirs en mémoire.  Retour en image sur cette belle expédition pyrénéenne. 

Pour retracer ces quatre journées dans les Pyrénées, je vous propose une série de photos prises durant le périple.

Aurélien entre Loudenvielle et notre premier bivouac (photo perso)

Notre premier bivouac situé dans un écrin de nature entouré de montagnes enneigées et traversé par un paisible ruisseau (photo Aurélien)

La cabane d’Ourtiga dans laquelle nous avons mangé le jeudi midi (photo perso)

Ce sont des montagnes encore très enneigées qui se sont présentées à nous dès 1600 mètres d’altitude (photo Aurélien)

Les cimes enneigées constituent ce somptueux décor (photo perso)

Aurélien à la conquête des cimes enneigées (photo perso)

Passage de ruisseau très délicat. le courant et la fraîcheur de l’eau n’ont pas facilité notre traversée (photo Aurélien)

Me voici au départ de notre seconde randonnée au long cours entre Bagnères de Luchon et la cabane de Saunères (photo Aurélien)

Passage dans le village d’Artigues situé à 1200 mètres d’altitude. Nous y avons déjeuné le vendredi (photo perso)

 La brume nous a accompagné une bonne partie de notre trek (photo Aurélien)

Vers 17h00, nous avons atteint la cabane de Saunères dans laquelle nous avons passé la soirée. Vers 20h00 nous avons même eu la surprise d’être rejoint par deux autres randonneurs venus de Toulouse (photo perso)

Emmitouflé dans nos duvets à contempler le feu crépitant dans la cheminée, la soirée fut très appréciable dans ce refuge non gardé (photo Aurélien) 

Aurélien et moi même devant la cabane de Saunères le samedi matin (photo perso)

Le samedi matin en montant un peu, nous nous sommes de nouveau heurté à la neige, omniprésente à partir de 1800 mètres d’altitude (photo perso)