Au sommet du Pico Ruivo, point culminant de Madère : l’un des temps forts de ma traversée intégrale de cette île portugaise aux paysages époustouflants
(courir-lemonde)
Située à 640 kilomètres au large des côtes marocaines, l’île portugaise de Madère m’attirait depuis longtemps. En 2015, mon frère Anthony y avait marché une douzaine de jours et plein d’enthousiasme il m’avait conté son climat mi océanique mi tropical, sa végétation luxuriante, ses côtes découpées et son relief prononcé. De quoi susciter ma curiosité !
Baignée par l’océan Atlantique, l’île de Madère fait partie de la Macaronésie au même titre que l’archipel des Açores, les Canaries et le Cap Vert. Ayant déjà sillonné une partie des Açores (un vrai coup de cœur) et l’île de Lanzarote aux Canaries, j’avais très envie de découvrir une autre contrée composant la Macaronésie. La Macaronésie est une entité géographique qui partage une histoire, des liens culturels et surtout une flore et une faune voisines.
Pour ce voyage, en solitaire, à Madère, j’avais le souhait d’un défi sportif. A vélo ? En kayak de mer ? Et pourquoi pas à pied tout simplement ?
Après la déception de mon trekking sur le chemin des crêtes du Jura suisse au printemps, la traversée à pied de Madère représentait un vrai challenge et était l’occasion de retrouver la confiance. Dès lors, j’ai décidé de relier l’aéroport de Madère, localisé à l’est de l’île, au phare de Ponta do Pargo, point le plus à l’ouest de Madère. Un parcours d’environ 100 kilomètres et au dénivelé fracassant. Du sport, de la sueur, de l’effort et du bonheur sur la majestueuse île de Madère. C’est parti pour le récit illustré de mon trekking à Madère.
Mes coups de cœur à Madère :
- La végétation exubérante et la flore de l’île
- Les paysages sauvages et l’ambiance paisible de la côte nord
- L’ascension du Pico Ruivo depuis Santana
- La variété des paysages (jungle, montagne, littoral)
- Les baignades dans l’océan
- La douceur du climat